De main de maitre, T4 : La Maîtresse
Extrait :
« Il n'avait jamais ressenti ce genre de désir pour une femme. Évidemment, il rêvait de la baiser, mais il avait aussi envie de... plus. Comme c'était une première, il n'avait aucune idée de la marche à suivre. »
Après avoir surmonté bien des épreuves, Deacon McConnell n'a qu'une consolation : le combat. Grâce à Ronin Black, le maître du dojo, il découvre l'art d'enseigner les sports de combat. C'est à l'occasion de ses cours qu'il rencontre Molly Calloway. Cette jeune femme douce et sensible n'a jamais eu confiance en elle et se sent complexée par son poids. En arrivant à Denver, elle décide d'apprendre à se défendre avec ses poings. Ce n'est qu'au contact de Deacon qu'elle parvient à retrouver confiance en elle et en son corps.
Grisée par ces sensations nouvelles, elle veut s'aventurer plus loin dans le désir, la sensualité, et surtout, la passion.
« À se damner ! »
Maya Banks, auteure de la série À fleur de peau
« Un voyage riche en émotions qui nous fait passer du rire aux larmes, avec un merveilleux dénouement en prime. »
Jaci Burton, auteure de la série Les Idoles du stade
« Une plongée fascinante dans l'univers du bondage. »Romantic Times
« Il n'avait jamais ressenti ce genre de désir pour une femme. Évidemment, il rêvait de la baiser, mais il avait aussi envie de... plus. Comme c'était une première, il n'avait aucune idée de la marche à suivre. »
Après avoir surmonté bien des épreuves, Deacon McConnell n'a qu'une consolation : le combat. Grâce à Ronin Black, le maître du dojo, il découvre l'art d'enseigner les sports de combat. C'est à l'occasion de ses cours qu'il rencontre Molly Calloway. Cette jeune femme douce et sensible n'a jamais eu confiance en elle et se sent complexée par son poids. En arrivant à Denver, elle décide d'apprendre à se défendre avec ses poings. Ce n'est qu'au contact de Deacon qu'elle parvient à retrouver confiance en elle et en son corps.
Grisée par ces sensations nouvelles, elle veut s'aventurer plus loin dans le désir, la sensualité, et surtout, la passion.
« À se damner ! »
Maya Banks, auteure de la série À fleur de peau
« Un voyage riche en émotions qui nous fait passer du rire aux larmes, avec un merveilleux dénouement en prime. »
Jaci Burton, auteure de la série Les Idoles du stade
« Une plongée fascinante dans l'univers du bondage. »Romantic Times
Mon Avis : (Isabelle )
Bonsoir à tous. Voilà ma chronique sur La maîtresse de Lorelei James. Tome 4..
Cette saga est juste phénoménal. L'auteure à une plume additive, et m'a beaucoup surprise.
J'ai été un peu moins emballé par l'univers du tome . J'ai commencé le livre avec un d'appréhension et quand j'ai vu le nombre de pages, j'ai eu un moment de panique 670 pages. Oh mon dieu.
Dès les 1eres pages, je me suis laissée transporter par l'histoire de Deacon et Molly. Les 2 personnages étaient présents dans les précédents tomes et méritaient d'avoir leur propre histoire.
On découvre Molly ( meilleure amie d'Amery) qui n'a pas eu une vie facile. Elle a grandit auprès de sa grand mère et a subi pleins de méchanceté de la part de ses cousines. Malgré tout, Molly est une battante, elle s'est forgée un caractère ( qui va vaciller quand elle va rentrer chez elle suite un triste événement ). Molly, sous ses airs de jeune fille sage, a un côté coquin, un côté sulfureux ( lire les pages 114, 115, 116, 117...) Au fil de l'histoire, Molly se confie à Deacon et malheureusement elle va préférer laisser Deacon, car elle ne veut pas être un frein à sa carrière.
Deacon, lui a un côté mystérieux, très protecteur envers Molly. Avec elle, il a envie de plus. Il a aussi des craintes, des secrets, il a peur de s'ouvrir. Il est charmant, et il est très accro à ce petit bout de femme. Il va apporter un véritable soutien à Molly.
Après, toutes ses révélations tous ses secrets, toutes les méprises, leur amour pourra t-il enfin prendre son envol sur des bases solides?
Ce qui m'a plu le plus dans ce tome, il change totalement d'univers. J'zi dévoré chaque page. J'ai même souffert avec les personnages. J'ai passé un excellent moment de lecture. Juste un petit bémol pour la couverture du livre qui pour moi je correspond vraiment à l'histoire du livre.
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