Vadim dérobe aux riches des toiles de maîtres pour les rendre à leurs véritables propriétaires moins fortunés. Hautain, méprisant, il enchaîne les filles et les soirées extrêmes. Mais lorsqu’il rencontre à Saint Pétersbourg la douce et fragile Alia, sa vie bascule. Quatre ans plus tard, leurs chemins se croisent à nouveau et il risquera tout pour la sauver d’un destin brisé.
Mon avis (# Audrey) :
Merci aux éditions Nisha
pour l'intégrale.
Une nouvelle fois, c'est une
découverte pour moi car je n'avais jamais lu de livres de Sophie
Auger.
Cette romance change des
dernières que j'ai lu par son rythme soutenu tout au long de
la lecture.
Vadim, notre héros, nous
emporte dans une course à cent à l'heure entre aventure,
adrénaline, vengeance, sexe et drogue.
Au milieu de tout ce bazar
(pour rester polie), il va sa prendre un coup de foudre par le
grand Amour, un jour comme ça à l'improviste en s'asseyant sur un
banc.
Mais comme dans la vie rien
n'est jamais facile, les non-dits vont venir assombrir ce tableau
idyllique et il va sombrer. Alors même que l'ange Alia lui avait
fait sortir la tête de l'eau et l'avait reconnecté à la vraie
vie.
Notre héros est de ceux
qu'on a parfois envie de claquer mais qui, s'il n'agissait pas ainsi,
ne serait pas lui alors on arrive à lui pardonner et lui trouver des
excuses.
En plus de l'histoire d'amour
principale, ce roman est une belle preuve d'amour familial,
fraternel et d'amitié. Une belle démonstration que les liens
que l'on se créé peuvent être plus fort que ceux du sang.
Les personnages ont des caractères
bien trempés qui cachent pour certains une tendresse inavouée sous
cette carapace de façade.
La plume de l'auteure est belle. Elle
arrive à capter l'attention de son lecteur et à ne plus la
lâcher grâce à une histoire bien rythmée, touchante agrémentée
de quelques surprises.
Car malgré tout : « On
ne peut lutter contre le véritable amour ».
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